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Dans tous les groupes d’étude auxquels j’ai participé au fil des ans, les conjectures s’invitent invariablement dans nos discussions. Certaines d’entre elles sont des spéculations sauvages, d’autres des commentaires plus réfléchis. Dans ce numéro du Journal, nous présentons deux propositions intéressantes. David Kantor, qui travaille sur un documentaire centré sur le christianisme et le Livre d’Urantia, spécule sur le rôle de la Somme théologique du 13e siècle du philosophe chrétien Thomas d’Aquin en tant que travail de base possible pour la cinquième révélation d’époque. James Woodward nous donne une analyse détaillée du mot allusif « morontia » et explique pourquoi il était nécessaire pour les révélateurs d’inventer un nouveau terme afin d’embrasser un nouveau concept de manière plus adéquate.
Dans ce numéro, Mark Blackham explore également l’idée que les personnalités célestes situées loin au-dessus de nous se trouvent parfois en désaccord les unes avec les autres. Dans son article intitulé « Gérer les conflits dans une vie spirituelle », M. Blackham observe que les désaccords dans les royaumes célestes ne sont pas inhabituels, en particulier au niveau des systèmes, des constellations et des univers locaux. Il décrit les multiples êtres dont le rôle est de servir de médiateur et de concilier les problèmes qui se posent lors de la création et de la gestion de notre grand univers.
Pour revenir à la façon dont nos amis célestes nous guident et nous éclairent avec de nouvelles vérités, Richard E. Warren propose une étude en trois parties sur « La vérité, la beauté et la bonté et le Père », et sur la façon dont ces trois valeurs suprêmes nous informent et nous aident à développer notre relation avec Dieu.
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